Tous en chœur!
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Paroles
Quand les oies sauvages
Chantent l’arrivée de l’hiver
Qu’au plus profond de la forêt
On peut entendre un air
Qui caresse, caresse
Quand le ruisseau coule
Sur le visage de la Terre
Que la marée monte
Que le souffle de la mer
Me traverse, traverse
J’appartiens à vos voix
Comme Feuillage au Vent
Comme Lune au Couchant
Comme Cœur au Sang
Quand les premiers bourgeons
Frissonnent vers la même lumière
Que les racines racontent
Les silences d’hier
Avec sagesse
Quand les flammes envoûtent
Le regard des êtres chers
Que la chaleur rassemble
Comme une douce prière
Nous apaise, apaise
Nous vous donnons nos voix
Un Soleil brûlant
L’espoir survivant
D’éternels cœur d’enfants
Et vibre notre émoi
Par-dessus le vacarme
De mêmes mots
Qui désarment
De même rire aux larmes
Pour tous ces mots d’extase
Illuminant nos souvenirs
Chantons encore ensemble
Pour abreuver l’avenir
De promesses
Verbe égal au Très-Haut
Notre unique espérance
Jour éternel
De la terre et des cieux
Nous rompons le silence
Divin Sauveur, jette sur nous les yeux
Divin Sauveur, jette sur nous les yeux
Répands sur nous
Le feu de ta grâce puissante
Que tout l’enfer
Que tout l’enfer fuie au son de ta voix
Dissipe le sommeil
d’une âme languissante
Qui la conduit à l’oubli de tes lois!
Qui la conduit à l’oubli de tes lois!
Ô Christ, sois favorable à ce peuple fidèle
Pour te bénir
Reçois les chants qu’il offre à ta gloire immortelle
Et de tes dons qu’il retourne comblé!
Et de tes dons qu’il retourne comblé
Et de tes dons
Qu’il retourne comblé!
Ah V’là l’bon vent, Le joli vent!
V’là l’bon vent, V’là l’joli vent
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
1
Derrière chez nous y’a-t-un étang
Derrière chez nous y’a-t-un étang
Trois beaux canards s’en vont baignant
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
2
Trois beaux canards s’en vont baignant
Trois beaux canards s’en vont baignant
Le fils du roi s’en va chassant
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
3
Le fils du roi s’en va chassant
Le fils du roi s’en va chassant
Avec son grand fusil d’argent
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
4
Avec son grand fusil d’argent
Avec son grand fusil d’argent
Visa le noir tua le blanc
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
5
Visa le noir tua le blanc
Visa le noir tua le blanc
Ô fils du roi tu es méchant
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
6
Ô fils du roi tu es méchant
D’avoir tué mon canard blanc
Par dessous l’aile il perd son sang
Par les yeux lui sortent des diamants et
Par le bec l’or et l’argent
Toutes ses plumes s’en vont au vent
Derrière chez nous y’a-t-un étang
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent mamie m’appelle
V’là l’bon vent, v’la l’joli vent, v’la l’bon vent, mamie m’attend
À la claire fontaine,
M’en allant promener
J’ai trouvé l’eau si belle
Que je m’y suis baigné.
Fendez le bois, chauffez le four,
Dormez la belle, il n’est point jour.
Sous les feuilles d’un chêne,
Je me suis fait sécher
Sous la plus haute branche,
Le rossignol chantait.
Fendez le bois, chauffez le four,
Dormez la belle, il n’est point jour.
Chante rossignol, chante,
Toi qui as le cœur tant gai
Tu as le cœur à rire
Moi je l’ai à pleurer.
Fendez le bois, chauffez le four,
Dormez la belle, il n’est point jour.
J’ai perdu ma maîtresse,
Sans l’avoir mérité
Pour un bouquet de roses,
Que je lui refusai.
Fendez le bois, chauffez le four,
Dormez la belle, il n’est point jour.
Je voudrais que la rose,
Fût encore au rosier
Et moi et ma maîtresse
Dans les mêmes amitiés.
Fendez le bois, chauffez le four,
Dormez la belle, il n’est point jour.
Amis, partons sans bruit, la pêche sera bonne
La lune qui rayonne éclairera la nuit
Il faut qu’avant l’aurore nous soyons de retour
Pour sommeiller encore avant qu’il soit grand jour
Partons, la mer est belle, embarquons-nous, pêcheurs
Guidons notre nacelle, ramons avec ardeur
Aux mâts, hissons les voiles, le ciel est pur et beau
Je vois briller l’étoile qui guide les matelots
Ainsi chantait mon père quand il quitta le port
Il ne s’attendait guère à y trouver la mort
Par les vents, par l’orage, il fut surpris soudain
Et d’un cruel naufrage, il subit le destin
Partons, la mer est belle, embarquons-nous, pêcheurs
Guidons notre nacelle, ramons avec ardeur
Aux mâts, hissons les voiles, le ciel est pur et beau
Je vois briller l’étoile qui guide les matelots
Je n’ai plus que ma mère qui ne possède rien
Elle est dans la misère, je suis son seul soutien
Ramons, ramons bien vite, je l’aperçois là-bas
Je la vois qui m’invite en me tendant les bras
Partons, la mer est belle, embarquons-nous, pêcheurs
Guidons notre nacelle, ramons avec ardeur
Aux mâts, hissons les voiles, le ciel est pur et beau
Je vois briller l’étoile qui guide les matelots
Si je m’arrête un instant, pour te parler de ma vie
Juste comme ça, tranquillement dans un bar rue St-Denis
J’te raconterai les souvenirs ben gravés dans ma mémoire
De cette époque où vieillir était encore bien illusoire
Quand j’agaçais les p’tites filles pas loin des balançoires
Et que mon sac de billes devenait un vrai trésor
Et ces hivers enneigés à construire des igloos
Et rentrer les pieds g’lés juste à temps pour Passe-Partout
Mais au bout du ch’min, dis-moi c’qui va rester
De la p’tite école et d’la cour de récré?
Quand les avions en papier ne partent plus au vent
On se dit que l’bon temps passe finalement
Comme une étoile filante
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la
Si je m’arrête un instant pour te parler de ma vie
Je constate que bien souvent on choisit pas, mais on subit
Et que les rêves des ti-culs s’évanouissent ou se refoulent
Dans cette réalité crue qui nous embarque dans le moule
La trentaine, la bedaine, les morveux, l’hypothèque
Les bonheurs et les peines, les bons coups et les échecs
Travailler, faire d’son mieux, en arracher, s’en sortir
Et espérer être heureux un peu avant de mourir
Mais au bout du ch’min, dis-moi c’qui va rester
De notre p’tit passage dans ce monde effréné?
Après avoir existé pour gagner du temps
On s’dira que l’on était finalement
Que des étoiles filantes
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la (bis)
Ouh, ouh, ouh, ouh
Ouh, ouh, ouh, ouh
Si je m’arrête un instant pour te parler de ma vie
Juste comme ça tranquillement pas loin du carré St-Louis
C’est qu’avec toi je suis bien et que j’ai pu’ l’goût de m’en faire
Parce que tsé, voir trop loin c’pas mieux que r’garder en arrière
Malgré les vieilles amertumes et les amours qui passent
Les chums qu’on perd dans’ brume et les idéaux qui se cassent
La vie s’accroche et renaît comme les printemps reviennent
Dans une bouffée d’air frais qui apaise les cœurs en peine
Ça fait que si à soir t’as envie de rester
Avec moi, la nuit est douce, on peut marcher
Et même si on sait ben que tout dure rien qu’un temps
J’aimerais ça que tu sois pour un moment
Mon étoile filante
La, la, la, la, la, a, la, la, la, la
La, la, la, la, la, a, la, la, la, la
Mais au bout du ch’min, dis-moi c’qui va rester
Mais au bout du ch’min, dis-moi c’qui va rester
Que des étoiles filantes
La mer a mis sa robe verte
Et le ciel bleu son œillet blanc
Elle a voulu être coquette
Pour dire au ciel en s’éveillant :
« N’oublie pas mon cœur, ni la fleur, ni le jonc
N’oublie pas surtout que demain nous nous marierons »
Les pieds dans les sables des dunes
Je les ai vus qui s’embrassaient
À l’ombre des joncs des lagunes
Et puis la mer qui lui disait :
« N’oublie pas mon cœur, ni la fleur, ni le jonc
N’oublie pas surtout que demain nous nous marierons »
Une fleur à la boutonnière
Le lendemain se marièrent
Le ciel au bras de la mer fière
D’avoir du soleil en son bouquet
Il y avait leur cœur et la fleur et le jonc
Chaque jour depuis mille fois, revit cette chanson
I. Pas grave
Natasha, Natasha, a quitté les entrechats,
Pour un schah, pour un schah,
Qui lui donne des colliers d’œils-de-chat
Natasha, Pour un schah,
Qui lui donne des colliers d’œils-de-chat
Natasha, Natasha a quitté les entrechats.
II. Jetés-battus
Pleurez, les jetés battus de la belle Idoménée.
Pleurez, pleurez, Idoménée.
Qui réchauffa son tutu.
Trop près, trop près de la cheminée,
Hélas!
III. Grand écart
Pour un clou qui était là
Pointe en l’air près du décor,
La danseuse Graziella ne fait plus le grand écart.
IV. Adagio
Les deux nièces de l’abbé ont un sommeil bien troublé
Depuis qu’à Wilfrid Pel’tier elles ont vu Oh!
Le beau Saltarello déchirer son bleu maillot
Zip! En plein milieu d’son adagio
Zip! En plein milieu d’son adagio
Zip! Zip! Zip!
V. Bayadère
Fatima la Bayadère
Souriant aux abonnés
Sur le dos d’une panthère
Chaque soir fait son entrée.
La la la la la a la la la la
Fatima la Bayadère
N’est plus là pour son entrée?
Elle est dedans la panthère
Qui sourit aux abonnés.
Brahma dieu des croyants
Faites que les entrailles de la panthère
Libèrent la Bayadère
VI. Maryse and partner
Il n’était pas là, Jos,
Quand Maryse du haut des frises,
Donna tête basse dans la contrebasse.
Il n’était pas là, Jos!
Jos n’était pas là!
Et pourtant, depuis vingt ans,
En un voltige à donner vertige
Chaque soir de son perchoir
Elle venait choir dans les bras costauds de Jos!
Mais ce soir, oh! Désespoir!
Il n’était pas là Jos!
Où est Jos?
Est-il indispos? Est-il allé payer son impôt?
Où est Jos? Où est Jos?
A-t-il été victime d’un complot?
Mystère et boule de gomme,
Jamais ni femm’ ni homme,
Sur ma foi
Ne saura pourquoi.
Il n’était pas là, Jos,
Quand Maryse du haut des frises,
Donna tête basse dans la contrebasse.
Car Jos n’était pas là! Jos n’était pas là! Jos!
Aimons-nous quand même
Aimons-nous jour après jour
Aimons-nous quand même
Aimons-nous malgré l’amour
Aimons-nous de rage
Aimons-nous mais sans pitié
Aimons-nous en cage
Aimons-nous sans amitié
Deux mille ans de haine n’ont rien changé à l’amour
Pour briser nos chaînes sonnent canons et tambours
C’est l’amour qui gronde l’amour avance à grands pas
Détruira le monde par amour du combat
Je t’aime, tu m’aimes, il l’aime
Nous vous aimons
Vous nous aimez
Ils m’aiment, ils t’aiment, ils aiment
Aimons-nous quand même la mort unit sans retour
Aimons-nous, je t’aime, je te tuerai, mon amour
L’amour nous préserve des remords de nos tueries
On tue sans réserve par amour de sa patrie
On vit sans histoire lorsque l’on vit sans aimer
L’amour c’est la gloire, la puissance et l’amitié
Aimons sans contrainte, aimons-nous comme il se doit
Resserrons l’étreinte qui nous étouffera de joie
Ahhhhhhhhhhhh
Je m’aime, tu t’aimes, il s’aime
Nous nous aimons
Vous vous aimez
Ils s’aiment
S’aimeront
I’ve heard there was a secret chord
That David played, and it pleased the Lord
But you don’t really care for music, do you?
It goes like this. the fourth, the fifth
The minor fall, the major lift
The baffled king composing Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah
Your faith was strong but you needed proof
You saw her bathing on the roof
Her beauty in the moonlight overthrew you
She tied you to a kitchen chair
She broke your throne, she cut your hair
And from your lips she drew the Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah
Maybe I have been here before
I know this room, I’ve walked this floor
I used to live alone before I knew you.
I’ve seen your flag on the marble arch
Love is not a vict’ry march
It’s a cold and it’s a broken Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah
There was a time you let me know
What’s real and going on below
But now you never show it to me, do you?
And remember when I moved in you
The holy dark was moving too
And every breath we drew was Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah, Hallelujah
Maybe there’s a God above
And all I ever learned from love
Was how to shoot at someone who outdrew you
And it’s not a cry you can hear at night
It’s somebody who’s seen the light
It’s a cold and it’s a broken Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah
Hallelujah, Hallelujah
Dou dou dou dou dou dou dou
Quand les hommes vivront d’amour,
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
Quand les hommes vivront d’amour
Ce sera la paix sur la terre
Les soldats seront troubadours
Mais nous nous serons morts mon frère
Dans la grande chaîne de la vie
Où il fallait que nous passions
Où il fallait que nous soyons
Nous aurons eu la mauvaise partie
Quand les hommes vivront d’amour
Il n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
Mais quand les hommes vivront d’amour
Qu’il n’y aura plus de misère
Peut-être songeront-ils un jour
À nous qui serons morts morts mon frère
Nous qui aurons au mauvais jours
Dans la haine et puis dans la guerre
Cherché la paix cherché l’amour
Qu’ils connaîtront alors mon frère
Dans la grande chaîne de la vie
Pour qu’il y ait un meilleur temps
Il faut toujours quelques perdants
De la sagesse ici bas c’est le prix
Quand les hommes vivront d’amour
II n’y aura plus de misère
Et commenceront les beaux jours
Mais nous nous serons morts mon frère
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour
Le temps que l’on prend pour dire je t’aime
C’est le seul qui reste au bout de nos jours
Les vœux que l’on fait, les fleurs que l’on sème
Chacun les récolte en soi-même
Aux beaux jardins du temps qui court
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour
Le temps de s’aimer, le jour de le dire
Fond comme la neige aux doigts du printemps
Fêtons de nos joies, fêtons de nos rires
Ces yeux où nos regards se mirent
C’est demain que j’avais vingt ans
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour
Le ruisseau des jours aujourd’hui s’arrête
Et forme un étang où chacun peut voir
Comme en un miroir l’amour qu’il reflète
Pour ces cœurs à qui je souhaite
Le temps de vivre leurs espoirs
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour
Gens du pays, c’est votre tour
De vous laisser parler d’amour